Newsletter Février 2019

EDITO FÉVRIER 2019

Le marketing au cœur de la croissance de l’entreprise

Historiquement, KERLOG a pu s’imposer sur le marché grâce à un investissement soutenu dans la R&D.
Aujourd’hui, après 15 ans de développement, le logiciel EcoREC est mature et performant.
Bien sûr, KERLOG poursuit ses innovations, mais afin de gagner de nouveaux marchés, l’entreprise a également choisi depuis quelques années de diversifier sa stratégie de développement, avec le renforcement de son équipe marketing et communication. 

Les moyens

Le marketing est un moyen efficace pour se faire connaître et reconnaître par son marché. De nombreuses actions, adaptées à la taille et aux objectifs de l’entreprise, sont importantes à mettre en œuvre, afin de se différencier. Depuis 2 ans, KERLOG a axé son plan marketing autour d’outils accessibles à tous : sites web et réseaux sociaux notamment. Une stratégie gagnante qui suppose la production de contenus réguliers (newsletters, articles, veille réglementaire…).
Le prospect ayant accès à une importante quantité d’informations sur internet, le marketing permet de relayer un message de manière plus qualitative à une cible donnée.

Ainsi, KERLOG dispose d’un site internet, d’une présence quotidienne sur les réseaux sociaux, Linkedin, Twitter, Facebook et YouTube, et envoie régulièrement des mailings sur son activité à sa base de contacts.

Au-delà des outils marketing numériques incontournables aujourd’hui, KERLOG est également présent sur le terrain auprès des syndicats du secteur, tels que FEDEREC, Amorce et le SEDDRe.
C’est un ensemble d’actions qui permettent une veille permanente du marché et la détection de nouvelles opportunités, de nouveaux prospects.

Bien entendu, un plan marketing suppose d’avoir défini en amont ses objectifs et les moyens mis en œuvre pour y parvenir. Il est nécessaire d’inscrire cette démarche sur le long terme et de suivre régulièrement ses actions. 

Résultats

Cette stratégie marketing a été gagnante pour KERLOG.
Une équipe de deux personnes a été constituée et a réussi, grâce à toutes ses actions, à toucher deux nouvelles cibles : les collectivités locales et les industriels.
Mieux se faire connaître auprès de ses prospects, c’est gagner en crédibilité et en confiance dans tout un secteur.
Une bonne politique marketing est donc un moyen efficace de se diversifier, de poursuivre son développement, et ainsi de maintenir une activité toujours plus pérenne. 

Christelle BERT, Responsable Marketing de KERLOG

BRÈVES FÉVRIER 2019

Les marchés toujours instables

Le dramatique accident minier qui a secoué le Brésil il y a quelques semaines a mis en exergue la volatilité exacerbée des marchés.
En quelques jours, les prix du fer ont bondi de 18%. Car Vale, leader mondial et propriétaire de la mine incriminée, va devoir démanteler toutes les digues semblables à celle qui a cédé, et donc réduire fortement sa production. Contrairement au fer, les autres matières premières sont en recul, confirmant la tendance baissière de fin 2018. C’est le cas du cobalt par exemple, au plus bas depuis 2 ans car en surproduction.
Du coup, le trading des matières premières est-il devenu moins rentable ? C’est en tout cas ce que semble penser Goldman Sachs, qui envisage de réduire son activité en la matière, ses revenus de trading ayant été divisés par 7 depuis 10 ans. Glencore, par ailleurs, a décidé de ne plus accroître sa production de charbon, et à la maintenir à son niveau actuel, soit 145 millions de tonnes.
On assiste dans le même temps à une augmentation significative des stocks d’or, une valeur refuge, dans les banques centrales. Ces dernières n’en ont pas acheté autant depuis 50 ans. Les prémisses d’une crise dans les prochains mois ? Pas tout à fait. D’après les dernières prévisions de CyclOpe, le cuivre, indicateur fiable de l’économie mondiale, devrait progresser de 4% en 2019.

Le plastique se recycle

Il y a quelques jours, l’État et 13 industriels français, comme Carrefour, L’Oréal, Franprix ou Danone, ont signé un pacte pour la réduction des emballages plastiques.
Objectif : 60% de plastiques recyclés en 2022 et 100% d’emballages réutilisables, recyclables ou compostables d’ici 2025.
Heureusement, pour que cette transition écologique se fasse, de nombreuses entreprises, grands groupes, start-ups ou scientifiques, ne sont pas à court d’idées. Les innovations en matière de recyclage se multiplient, notamment pour le plastique, souci numéro 1 des Autorités.
Les sociétés Carbiolice et Novozymes ont développé un procédé capable d’accélérer la biodégradation des PLA pour les plastiques à usage unique, et donc d’atteindre les performances requises par la réglementation au 1er janvier prochain.
Autre exemple de recyclage des plastiques très prometteur : une université américaine a développé un procédé révolutionnaire capable de transformer ¼ des déchets plastiques en carburant. Le polyproplylène peut être transformé en essence ou en diesel grâce à de l’eau supercritique, c’est-à-dire soumise à de fortes pressions et températures. Un procédé que les entreprises de recyclage pourraient utiliser rapidement, et qui pourrait aussi intéresser les industriels pétroliers.
Total a annoncé l’acquisition d’une société française spécialisée dans le recyclage de plastique en polypropylène.

D'autres innovations dans le recyclage

D’autres investissements notables émergent dans tous les secteurs du recyclage. La société Tesalys vient de lever 6 millions d’euros pour développer son innovation : des machines mobiles qui broient les déchets médicaux et les désinfectent à 135°C pour les convertir en déchets ménagers compactés.
Dans le domaine des déchets alimentaires, Phenix a levé 15 millions d’euros pour se déployer à l’international.
Son objectif : réduire à zéro les poubelles des magasins d’alimentation. La start-up récupère des produits bientôt périmés et les redistribuent aux consommateurs, aux associations ou aux animaux.
Des entreprises malines qui savent saisir les opportunités. A l’image de R.Bourgeois, fabricant de circuits magnétiques, qui a investi 20 millions d’euros pour s’agrandir et répondre aux marchés des véhicules électriques, mais aussi des énergies renouvelables, avec la fabrication des rotors et stators pour éoliennes, ou de gros générateurs thermiques.
Enfin, la chaleur fatale devient un filon pour l’industrie. Grâce aux aides de l’État, certains commencent à se lancer dans des projets de récupération de chaleur, comme du côté de Dunkerque où Engie et ArcelorMittal ont signé un partenariat qui permettra à terme de chauffer 3000 logements de l’agglomération.

Déchets en hausse, stockage en baisse

Le chantier du Grand Paris génère plus de déchets que prévu.
Selon l’Ordif, les déchets non dangereux inertes progressent de 20 à 25 millions de tonnes en 2018. Problème : où les stocker ?
La loi sur la transition énergétique oblige les sites à réduire leurs capacités de stockage. Certes, les entreprises doivent trier à la source 5 flux de déchets (papier, métal, plastique, bois et verre) depuis 2 ans, mais l’Ordif n’en mesure pas pour l’instant les effets.

Le numérique au service des collectivités

Les collectivités sont de plus en plus équipées d’outils qui les aident à mieux gérer leurs problématiques et faire des économies. C’est le cas d’applications smartphone qui permettent aux citoyens de signaler des dépôts d’ordures sur les trottoirs, des candélabres défectueux ou des nids de poule dans la chaussée par exemple.
Les services municipaux sont alertés en temps réel, ce qui permet de réduire considérablement les délais de traitement.
Grâce au reporting de ces données, la ville d’Argenteuil a évalué à 73 000 euros par an les bénéfices socio-économiques réalisés grâce à l’application Tell My City. 

C’est aussi l’objectif des outils développés par KERLOG, à la fois pour les industriels et les collectivités : des applications métiers destinées à faciliter le recyclage et la récupération des déchets au niveau local, tout en agrégeant les données dans un logiciel de reporting.
La remontée des statistiques permet une meilleure gestion des flux en tant réel.
Cela contribue à proposer un service de qualité, soucieux des deniers publics.

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